Instagram, c’est une plateforme que j’affectionne particulièrement pour la belle relation que j’y ai avec ma communauté. Et la raison principale pour laquelle je suis plutôt proche de ma communauté, c’est grâce aux stories. Bien que je sois très authentique et accessible sur toutes mes plateformes, les stories Instagram demeurent un accès direct à ma personnalité à son état le plus pur et simple. Par contre, cette belle relation avec ma communauté ne s’est pas bâtie en une semaine… Laisse-moi te partager les trucs qui ont fait en sorte que je considère maintenant ma communauté Instagram comme ma gang d’amis.

Poser des questions

Clairement, c’est le point le plus important et c’est ce qui a été un point tournant pour moi. La première fois que j’ai posé une question à ma communauté en story, je n’ai pas reçu énormément de réponse. Les gens ne répondent pas aux questions de ceux qui ne connaissent pas. Mais comme je me suis davantage ouverte à ma communauté, les réponses aux questions que je posais ont rapidement affluées. Le truc, c’est de poser des questions qui ne sortent pas de nulle part. Rares sont les journées où ma première story sera une question. Généralement, je parle d’un sujet X pendant la journée et je pose ensuite des questions en lien avec ce sujet. Par exemple, lorsque j’ai reçu mon diagnostic de diabète de type 1, j’ai trouvé important d’en parler à ma communauté parce que ça occupait la majorité de mon temps et de mon énergie à ce moment-là. La réponse de ma communauté a été incroyable, donc j’ai compris que c’était un sujet que je pouvais aborder avec modération sur Instagam. Et j’ai utilisé les stories pour poser des questions à ma communauté, comme: «Je cherche des idées de déjeuner faibles en glucides… qu’est-ce que vous mangez, vous, le matin?» Ce soir-là, j’ai réçu une soixantaine de réponses et plusieurs personnes m’ont même réécrits, quelques jours plus tard, pour savoir si j’avais trouvé de bonnes idées de déjeuner! Aujourd’hui, chaque fois que je pose une question, ma communauté embarque à cent mille à l’heure et c’est ce qui fait que nous avons maintenant une relation vraiment cool!

Partager des tranches de vie

On va se le dire, les stories, c’est pour les voyeurs. Et ce n’est pas mauvais d’être voyeur. Je fais moi-même partie de ceux qui peuvent regarder la vie des autres pendant des heures (oups, ça sonne pathétique!). Ce que je veux dire, quand je parle d’univers voyeur, c’est que la communauté veut avoir accès à du personnel, à de l’exclusif, à des coulisses… Donc profites-en pour y partager les tranches de vie de ton quotidien. Je te donne encore un exemple très personnel: avant, j’utilisais les stories uniquement pour partager les coulisses de ma business, ce qui est très bien. Par contre, le mode de vie que j’ai fait en sorte que j’ai beaucoup d’autres passions et occupations qui font partie de mes journées. Par hasard, un soir, j’ai partagé mon plan de la soirée: thé, doudou et série télé. À ce moment-là, ma boîte de messages a explosée. Ls gens qui reconnaissaient la série que j’écoutais m’écrivait pour en parler et ceux qui ne la reconnaissaient pas me demandaient des idées de séries à écouter. Comme les séries télé me passionnent et occupent pratiquement toutes mes soirées, j’y ai vu une opportunité d’en parler avec le public de mes stories Instagram.

Doser

Pour ma part, tout est une question de dosage. En story, j’ai une ligne éditoriale assez large qui ne convient pas à 100% à un seul public. Mes sujets principaux: business, santé, séries télé, moments forts de ma vie et confiance en soi. Si je ne parle que de santé pendant une semaine, je sais que je vais perdre des abonnés, au même titre que si je ne fais que parler de séries télé. En dosant le tout et en variant mon contenu, ça me permets d’aller chercher différents publics avec différents intérêts et d’être en constante discussion avec les membres de ma communauté.

Et toi, as-tu intégrer le stories à ta stratégie Instagram?